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Les paramètres économiques de la décarbonation protègent la transition « net-zéro » contre Trump
Mona Shah
Senior Sustainability Strategist
Ilona Echenard
Sustainability Strategist
points clés.
Alors que la planète va dépasser la cible de 1,5 °C fixée par l’Accord de Paris et que les politiques de l’administration Trump sont une autre mauvaise nouvelle, la transition a déjà commencé, grâce aux fondamentaux économiques solides de la décarbonation
Les tendances à long terme montrent que le reflux des émissions dans les pays occidentaux est amorcé. La situation en Chine et en Inde, où les émissions continuent d’augmenter, comptera donc davantage pour la transition que les changements politiques régressifs à l’œuvre aux Etats-Unis
Notre approche TargetNetZero propose aux investisseurs des portefeuilles core diversifiés et sans contrainte de style, qui répondent aux enjeux de la décarbonation dans tous les secteurs de l’économie et affichent une empreinte carbone nettement inférieure à celle des indices de référence.
Le « net-zéro » est mort, vive le « net-zéro » !
Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), les émissions mondiales de CO2 liées à l’énergie ont augmenté de 1,1% en 2023 et ont battu un nouveau record, avec 37,4 milliards de tonnes. Une telle augmentation souligne combien il est difficile de réduire les émissions à l’échelle planétaire. Pourtant, même si, sur la trajectoire actuelle, le monde ne tiendra pas la promesse de l’Accord de Paris d’un réchauffement climatique limité à 1,5 °C, les chiffres globaux masquent les progrès évidents déjà réalisés.
La ventilation des émissions par région montre qu’aux Etats-Unis, dans l’Union européenne et au Japon, les niveaux totaux et par habitant s’inscrivent sur une pente descendante claire depuis 25 ans. Pourtant, compte tenu des émissions croissantes en Chine, en Inde et dans d’autres pays en développement, malgré le positionnement unique de la Chine comme leader dans les technologies climatiques, les émissions mondiales dans leur ensemble continuent d’augmenter.
GRAPHIQUE 1. Malgré l’augmentation continue des émissions mondiales dans leur ensemble, celles de l’Occident s’inscrivent clairement sur une tendance baissière1
Même le conseiller en communication le plus aguerri qui soit aurait toutes les peines du monde à faire passer le second mandat de Trump pour une bonne chose pour la transition vers une économie neutre en carbone. Pourtant, compte tenu des arguments économiques solides et de la forte dynamique générale à l’appui de la décarbonation dans les pays occidentaux, l’approche adoptée par la Chine et l’Inde aura finalement davantage de poids qu’une administration Trump climatosceptique.
Pourquoi les investisseurs devraient-ils cibler le « net-zéro » ?
Comme le montrent ces tendances à long terme concernant les émissions, même si la transition ne sera pas linéaire, l’économie mondiale se décarbone et les pays développés ouvrent la voie.
La décarbonation est un phénomène qui touche l’ensemble de l’économie et génère des risques et des opportunités. Elle est particulièrement importante pour les sociétés à fortes émissions dans des secteurs tels que l’acier et l’industrie manufacturière, qui seront transformés par la mise en œuvre de modèles d’affaires aux émissions plus faibles. Si les investisseurs veulent jouer un rôle efficace dans la transition, ils ne doivent pas seulement s’intéresser aux empreintes carbone actuelles des sociétés, mais également chercher à comprendre la trajectoire de leurs émissions futures, en intégrant les particularités de leurs secteurs et de leurs régions.
En appliquant cette analyse à plusieurs secteurs, il est possible de diversifier l’exposition à des entreprises issues de différents pans de l’économie et qui ont lancé leur décarbonation. On obtient alors un portefeuille core résilient, qui s’appuie sur des fondamentaux d’investissement solides et qui est aligné sur un avenir « net-zéro ». Ce portefeuille capture les rendements de marché générés par transition économique profonde en cours, tout en atténuant les risques. Telle est notre approche TargetNetZero.
Pourquoi une stratégie TargetNetZero global credit ?
La stratégie TargetNetZero Global IG Corporate (TNZ credit) de LOIM est une stratégie mondiale long only axée sur le crédit d’entreprise et conçue pour des investisseurs qui cherchent avant tout à réduire les risques liés à la transition climatique tout en profitant des opportunités générées par le passage au « net-zéro ». Lancée en avril 2021, elle investit dans une sélection de titres choisis à l’aide de nos outils et méthodologies propriétaires d’analyse de la durabilité. Elle vise une exposition à des émetteurs démontrant qu’ils s’inscrivent sur une trajectoire conduisant à une économie à bilan carbone neutre et qu’ils contribuent à lutter contre les risques liés à la transition tout en capturant les opportunités qu’elle suscite.
Avec nos stratégies TNZ credit, les clients profitent d’expositions obligataires core à faible tracking error, qui cherchent à répliquer la performance d’indices de référence généraux tout en respectant les critères relatifs à un réchauffement de 2 °C maximum. Ces stratégies affichent des rendements ajustés au risque solides ainsi que des résultats probants en matière de décarbonation des portefeuilles, démontrés par trois années d’historique de performance. La franchise gère plus de USD 1,8 milliard2 à travers des fonds publics et des mandats sur mesure destinés à des clients de grande taille et à des investisseurs institutionnels. Comme nous sommes l’un des seuls gestionnaires d’actifs à proposer des solutions tournées vers l’avenir de la décarbonation et fondées sur une mesure propriétaire de la hausse implicite de la température (ITR), nous détenons, nous comprenons et nous gérons l’intégralité des indicateurs de décarbonation utilisés pour la construction de nos portefeuilles. Nous pouvons ainsi extraire en temps réel des points de données sur l’ITR, les exploiter dans le cadre de nos échanges avec les sociétés en portefeuille et fournir à nos clients des analyses et des rapports sur mesure à partir de ces données.
Grâce à notre approche prospective de la décarbonation des portefeuilles, nous pensons pouvoir générer de meilleurs résultats pour le climat et les investissements que les indices de référence traditionnels. Indépendamment des secteurs et des régions, nous investissons dans des sociétés qui appliquent des stratégies de décarbonation crédibles et nous construisons des portefeuilles diversifiés dont les biais sont les plus faibles possible. Les portefeuilles TNZ credit sont fondés sur une approche pragmatique qui limite les risques liés à l’investissement dans l’atténuation climatique. Cette philosophie les rend suffisamment solides pour résister lors de périodes prolongées de perte de confiance dans la transition et dans ses perspectives. Comme ils investissent dans tous les secteurs, ces produits peuvent correspondre aux principaux indices de référence. Ils apportent ainsi une réponse convaincante aux discussions sur le coût d’opportunité des investissements liés à la transition. Nous avons constamment atteint nos objectifs d’alignement des portefeuilles sur l’ambition de 2 °C de hausse des températures fixée par l’Accord de Paris. Nous générons en outre une performance comparable aux indices de référence tout en maintenant un tracking error ex-post inférieur à 2% (voir Figure 2).
Malgré les difficultés politiques provoquées par l’administration Trump, la transition vers une économie décarbonée reste fondamentalement résiliente et solide. Les forces du marché, le soutien de différents Etats, les progrès technologiques et les engagements d’entreprises sont autant d’éléments qui favoriseront les progrès continus en matière de décarbonation. Notre philosophie TargetNetZero offre aux investisseurs une approche stratégique pour la construction de portefeuilles axés sur la décarbonation et adaptés à toutes les conditions de marché. Ces portefeuilles visent une croissance durable tout en proposant des rendements résilients, indépendamment de la situation politique.
GRAPHIQUE 2. Performance de la stratégie LOIM TNZ global credit (%)3
GRAPHIQUE 3. Indicateur synthétique de risque pour la stratégie TNZ global credit4
Cas pratique : Stora Enso5
La société finlandaise Stora Enso est un leader mondial du papier et des produits forestiers. Ses activités se concentrent principalement sur les solutions durables. Pour cela, elle utilise des matériaux renouvelables et investit massivement dans l’industrie forestière durable, les biomatériaux innovants et les technologies d’efficacité énergétique dans le but de réduire l’impact environnemental de l’ensemble de sa chaîne d’approvisionnement. Plus précisément, la société6 :
Fournit des conditionnements fabriqués à partir de fibres recyclées pour les secteurs de l’alimentation, des boissons et des transports
Renforce l’efficacité des ressources grâce à une optimisation continue, à un fonds de placement dédié et à des systèmes de gestion énergétique certifiés ISO 500017
Investit dans les énergies renouvelables, notamment en utilisant des biocarburants sur ses sites de production
Intègre des critères de durabilité indépendants dans son Code de conduite à destination des fournisseurs afin de garantir une gestion solide et responsable de sa chaîne d’approvisionnement8
Dispose d’un plan de décarbonation validé par la Science-Based Target Initiative et visant une réduction de 50% des émissions absolues de CO₂ des scopes 1, 2 et 3 entre 2019 et 20309
Nous pensons que Stora Enso jouera un rôle clé dans la transition car elle accorde une grande priorité à la gestion durable des forêts. La société pourrait également profiter de l’avantage conféré par son statut de précurseur grâce à ses engagements solides. Elle a émis dix obligations vertes, destinées à financer des activités telles que l’acquisition de forêts certifiées FSC et PEFC et la sylviculture ainsi que des actions visant à améliorer la biodiversité. Elle a aussi investi dans des produits plus durables. Par exemple, elle est la première productrice mondiale de CLT, qui peut remplacer le béton et l’acier dans la construction.
Les forces du marché qui sous-tendent la transition « net-zéro »
Malgré les reculs potentiels des réglementations environnementales aux Etats-Unis, l’adoption de solutions énergétiques plus propres pourra encore s’appuyer sur les forces du marché et les progrès technologiques10. Face aux barrières que les responsables politiques risquent de lever, plusieurs facteurs devraient se combiner pour maintenir la dynamique de la transition vers une économie neutre en carbone :
Facteurs structurels : l’électrification, l’automatisation, l’utilisation efficace de l’eau et la réindustrialisation s’appuient sur des tendances séculaires qui ont peu de chances de changer pendant le mandat de Trump
Relocalisation : la fabrication industrielle au niveau local raccourcit les chaînes d’approvisionnement et réduit la dépendance aux importations, ce qui compense les risques liés au retrait des subsides accordés à l’énergie solaire et éolienne
Sécurité énergétique et accessibilité financière : après la crise énergétique mondiale déclenchée par la guerre en Ukraine, contrôler des sources d’énergie diverses, bon marché et fiables est un objectif que partagent tous les acteurs politiques11
Services publics et production : la demande en énergie renouvelable s’appuie sur la nécessité de solutions énergétiques fiables et efficientes destinées à soutenir la croissance économique et sur la compétitivité des prix, indépendamment des subsides12
Dynamique du marché mondial : la Chine investit de façon agressive dans les technologies liées aux énergies propres ; pour préserver leur compétitivité sur les marchés internationaux, les Etats-Unis vont probablement continuer à investir dans l’énergie propre, indépendamment de l’évolution des politiques intérieures13
Levier économique et géopolitique : l’investissement continu dans les combustibles fossiles et les énergies renouvelables est essentiel pour maintenir et développer la suprématie énergétique des Etats-Unis ainsi que les avantages économiques et géopolitiques qu’elle leur confère14
Demande fondée sur les données : la hausse progressive de la demande d’électricité provenant des centres de données, en raison du cloud computing, du minage de cryptomonnaies et de l’essor de l’IA, peut profiter au secteur de l’énergie renouvelable au niveau économique et en matière d’infrastructures
Préférences des consommateurs : la transition vers des produits respectueux de l’environnement est progressive et repose, dans une large mesure, sur les réglementations de l’UE et sur les préférences des consommateurs, plutôt que sur les politiques des Etats-Unis uniquement.
Le principal facteur pouvant être, selon nous, véritablement positif serait un consensus bipartite sur la politique énergétique, qui s’appuierait sur une approche véritablement prospective. L’adoption d’une stratégie à long terme bien conçue et issue d’un large consensus permettra de faire baisser le prix de l’énergie et de rendre les coûts plus prévisibles, ce qui aura non seulement des avantages pour l’environnement, mais aussi pour la société et l’économie.
L’effet Donald Trump : un parcours plus accidenté, mais pas de revirement
La nouvelle administration américaine prévoit de revenir sur les réglementations environnementales, de se retirer des accords internationaux sur le climat et d’abroger des dispositions clés de l’Inflation Reduction Act (IRA), autant de menaces évidentes sur les progrès accomplis en matière de décarbonation de l’économie. Pour autant, nous restons pleinement convaincus que la décarbonation repose sur des arguments économiques solides et que les initiatives lancées au niveau des Etats ainsi que les forces du marché pousseront la transition, malgré l’animosité affichée par le gouvernement fédéral actuel envers l’action climatique.
Les chiffres du premier mandat de Donald Trump étayent cette thèse. Par exemple, entre 2009 et 2016, le coût de l’énergie solaire avait chuté de USD 350 à USD 55 le mégawatt-heure (MWh). Sous la première administration de Donald Trump, cette baisse n’a pas ralenti. Les coûts moyens actualisés ont ainsi atteint un plancher de USD 36/MWh en 2021. Par ailleurs, le coût des batteries et des véhicules électriques a lui aussi continué de reculer. Selon les données de l’AIE, sur la même période, le nombre de véhicules électriques a été multiplié par cinq aux Etats-Unis. Enfin, malgré le soutien politique de l’administration, au moins onze centrales à charbon ont fait faillite, car elles n’étaient plus compétitives face aux nouvelles sources d’énergie (selon une analyse de Lazard, le coût moyen actualisé du charbon s’élève aujourd’hui à USD 69-168/MWh, contre USD 29-92/MWh pour le solaire à échelle commerciale).
Au bout du compte, compte tenu des avantages démontrés de ces technologies en termes de coûts, qui s’appuient sur des cycles d’innovation, sur la modularité des technologies et sur des principes d’ingénierie élémentaires, nous pensons que la transition vers une économie plus durable est inarrêtable.
Investir dans la décarbonation n’implique pas de sacrifier les rendements
Contrairement à bon nombre de stratégies bas carbone, TNZ credit est tournée vers des processus de décarbonation authentiques destinés à intégrer une exposition core pouvant servir de base à la construction de portefeuilles. Nos trois années d’historique de performance montrent comment nous appliquons notre méthodologie propriétaire pour sélectionner, dans tous les secteurs, des sociétés qui affichent des trajectoires de décarbonation ambitieuses et crédibles. Certaines d’entre elles ont aujourd’hui des émissions élevées, mais leurs stratégies de décarbonation et les progrès qu’elles enregistrent dans la réduction de leurs émissions en font, selon nous, des leaders de la transition. Notre mesure ITR propriétaire s’appuie sur des données scientifiques et est approuvée par le Groupe de travail sur la publication d’informations financières relatives au climat (Task Force on Climate Related Financial Disclosures, TCFD)15 ainsi que par la Glasgow Financial Alliance for Net Zero16. Elle montre les véritables efforts en matière de décarbonation.
Nous sommes convaincus que cette approche permet d’obtenir une bien meilleure diversification et des rendements potentiels plus solides que les indices de référence « Accord de Paris », qui sont souvent axés avant tout sur les exclusions.
Pour en savoir plus sur notre stratégie de crédit TargetNetZero IG, cliquez ici
afficher les sources.
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[1] Source : AIE, « The changing landscape of global emissions ». Consulté le 16 avril 2025. Uniquement à titre indicatif.
[2] Source : LOIM, 31 mars 2025.
[3] Source : LOIM, 31 mars 2025. Date de lancement de la stratégie : 26 avril 2021. La performance représentée est un composite de la stratégie. La performance passée ne saurait garantir les résultats futurs. Uniquement à titre indicatif. Définition du composite et de l’indice de référence. La stratégie est une stratégie long only axée sur les entreprises mondiales, lancée en avril 2021. Elle investit principalement dans les titres composant l’indice Bloomberg Barclays Global Aggregate Corporates, sur la base de processus internes liés à la durabilité, en vue de réduire le risque de transition climatique. Cette stratégie vise à sélectionner les émetteurs de manière à constituer un univers compatible avec les objectifs de lutte contre le réchauffement climatique. Elle intègre un large éventail d’objectifs climatiques couvrant le risque lié à la transition, les opportunités et les risques physiques associés au changement climatique. Elle vise à investir dans des émetteurs qui peuvent contribuer à réduire les émissions mondiales de CO2 et atteindre, au bout du compte, zéro émissions nettes d’ici à 2050. Ces émetteurs comprennent ceux qui visent déjà zéro émissions nettes de CO₂ d’ici à 2050, mais aussi ceux qui ne se sont pas déjà fixé de tels objectifs, mais qui peuvent progressivement être amenés à s’y conformer, notamment en raison de mesures réglementaires, de l’engagement des investisseurs et de changements sur les marchés. Le Gérant cherche à atteindre une réduction des émissions de CO2 du portefeuille plus rapide que l’indice Bloomberg Barclays Global Aggregate Corporates. La réalisation de ces objectifs dépendra d’évolutions réglementaires, technologiques et commerciales que le Gérant ne maîtrise pas. Rien ne permet de garantir que ces objectifs seront atteints. La gestion des risques est assurée par les gérants de fonds au niveau du portefeuille, ainsi que par des équipes indépendantes qui surveillent les risques d’investissement, de contrepartie et opérationnels. L’indice de référence du composite est le IO BAR GL AGG CORP HDG $. Monnaie du composite : dollar américain (USD). Commissions de gestion et autres informations Tous les rendements sont présentés avant ratio des coûts totaux (TER) du fonds. Le TER maximal de la stratégie LOF - TargetNetZero Global IG Corporate, Syst. Multi Ccy Hdg est de 0,70% sur la base de la part IA (investissement supérieur à CHF 1 million), avec une commission de gestion de 0,45%. Les retenues à la source sur les revenus sont traitées selon la comptabilité de caisse, tandis que les retenues à la source récupérables, selon le pays où le client concerné est domicilié, sont ajoutées à la performance au moment où elles surviennent. De plus amples informations sur les méthodologies de calcul et les procédures de gestion des composites sont disponibles sur demande.
[4] Cet indicateur de risque synthétique (SRI) permet d’évaluer le niveau de risque de ce produit par rapport à d’autres produits. Si ce dernier a moins de cinq ans, les données manquantes sont simulées à partir d’un indice approprié. Cet indicateur peut varier au fil du temps et ne doit pas être utilisé comme un indicateur du risque ou des rendements futurs. La classification de risque la plus faible ne signifie pas que le Compartiment est dénué de tout risque ou que le capital est nécessairement garanti ou protégé.
[5] Les cas pratiques décrits dans le présent document sont présentés uniquement à titre indicatif et ne constituent ni une recommandation d’investissement dans les valeurs mobilières mentionnées ni une énumération exhaustive des facteurs ou des considérations qui pourraient justifier un investissement dans lesdites valeurs. Les cas pratiques sélectionnés illustrent le processus d’investissement suivi par le Gérant pour un certain type d’investissement, mais peuvent ne pas refléter le portefeuille d’investissements complet, passé ou futur, du Fonds. Il convient de préciser que ces cas pratiques ne donnent pas, à eux seuls, une vision claire et objective du processus d’investissement du Gérant ni de la composition, actuelle ou future, du portefeuille du Fonds.
[6] Tous les chiffres sur la société sont fournis par Stora Enso.
[7] La norme ISO 50001 est une norme internationale relative aux systèmes de gestion énergétique.
[8] Le Code de conduite à destination des fournisseurs de Stora Enso inclut les critères du Forest Stewardship Council, du Programme for the Endorsement of Forest Certification et de la norme ISO 4001 (une norme internationale relative aux systèmes de gestion environnementale).
[9] Source : Science-Based Targets Initiative.
[10] Source : « Subsidy Wars », Fonds monétaire international, juin 2023.
[11] Source : « World Energy Outlook 2024 », Agence internationale de l’énergie, 2024.
[12] Source : « Recent analysis on the impact of tax incentives for residential energy efficient equipment », Office of Energy Policy and Systems Analysis, département américain de l’Energie, 30 novembre 2017.
[13] Source : « Economic Impacts and Market Distortions of Subsidies Across Sectors », Accounting Insights, 12 septembre 2024.
[14] Source : « Subsidy Wars », Fonds monétaire international, juin 2023.
[15] Source : « Measuring Portfolio Alignment: Assessing the Position of Companies and Portfolios on the Pathe to Net Zero », Blood, D. et Levina, I. Publié en 2020 par l’équipe d’alignement des portefeuilles (Portfolio Alignment Team, PAT).
[16] Source : « Measuring Portfolio Alignment: Enhancement, Convergence and Adoption », publié par GFANZ en août 2022.
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