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La fin des moteurs thermiques, la fonte des glaciers et la crise de la biodiversité en Afrique
Quels sont les événements qui ont marqué l’actualité en juin dans le domaine de la soutenabilité ? Nous faisons le point sur les évènements macroéconomiques, financiers et liés au monde de l’entreprise que nous avons jugé utile de porter à la connaissance des investisseurs soucieux de l’environnement.
La Cour suprême des Etats-Unis inflige un sérieux revers au président Biden en ôtant à l’EPA son pouvoir décisionnaire en matière de lutte contre le changement climatique, selon Bloomberg. La plus haute juridiction américaine a restreint le pouvoir de l’Agence américaine pour la protection de l’environnement (EPA) lui permettant de réduire les émissions des centrales à charbon en accordant au Congrès le pouvoir de renforcer ses prérogatives. La décision 6-3 qui interprète le Clean Air Act empêchera l’agence d’imposer le type de plan ambitieux de réduction des émissions que l’EPA a tenté de mettre en place sous la présidence de Barack Obama. La majorité a déclaré que même si l’EPA peut toujours réglementer les émissions des usines, elle n’a plus le pouvoir d’imposer la substitution des combustibles fossiles par des sources d’énergie plus propres. « Il appartient au Congrès ou à une agence investie d’un mandat clair par cet organe représentatif de prendre une décision d’une telle importance », selon John Roberts, Chief Justice.
L’UE parvient à un accord historique pour mettre fin aux moteurs thermiques d’ici 2035, selon Bloomberg. Les pays membres de l’Union européenne (UE) ont approuvé l’interdiction de ventes de voitures à essence et diesel à partir de 2035. Les ministres de l’Environnement sont parvenus à s’accorder sur la proposition après que l’Italie renonce à exiger un délai de cinq ans. L’accord, qui signe la fin de l’ère des voitures à moteur thermique en Europe, définit la position des Etats membres en vue de nouveaux pourparlers avec le Parlement et la Commission européenne sur la version définitive des objectifs de réduction des émissions de l’Ajustement à l’objectif 55 de l’UE. Vous souhaitez en savoir plus sur la façon dont nous alignons nos portefeuilles sur les objectifs de neutralité carbone ? Cliquez ici pour découvrir nos outils propriétaires fondés sur la science.
Les émissions mondiales liées au transport des denrées alimentaires sont plus importantes que ne laissaient penser les estimations précédentes, selon une étude. Les auteurs de l’étude, publiée dans Nature Food, ont estimé l’empreinte carbone du système de transport mondial des aliments à partir d’une évaluation de l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement des aliments. L’étude révèle que, sur une seule année, le transport des denrées alimentaires était responsable de trois milliards de tonnes d’émissions d’équivalent CO2, soit 7,5 fois plus que les estimations précédentes. « Les pays riches représentent la majeure partie des émissions liées au transport des denrées alimentaires », selon l’étude. Ses auteurs révèlent que même s'ils ne représentent qu’environ 12,5% de la population mondiale, ils sont responsables de 52% des kilomètres parcourus par les aliments et de 46% des émissions qui en résultent.
Les périodes de canicule observées en Europe provoquent une augmentation « extrême » de la température de la mer, selon Bloomberg. La vague de chaleur extrême qui a frappé les sols a déclenché une vague de chaleur marine qui se poursuit, selon Melanie Juza, chercheuse pour le Système d’observation et de prévision côtier des Îles Baléares (SOCIB). « Nous n’avons jamais connu une vague de chaleur marine d’une telle intensité si tôt dans l’année », a déclaré Mme Juza. « Les températures ont atteint 26 degrés Celsius voire plus en mer des Baléares le 19 juin. C’est du jamais vu. » Les vagues de chaleur marines sont relativement peu connues des scientifiques, mais sont devenues un autre signe préoccupant du changement climatique.
Les conséquences du changement climatique dans les Alpes sont visibles depuis l’espace. Selon ScienceDaily, des chercheurs de l’Université de Lausanne et de l’Université de Bâle ont utilisé les données satellites pour montrer que la végétation au-dessus de la limite des arbres a augmenté dans près de 80% des Alpes. La fonte des glaciers est devenue un symbole du changement climatique, la réduction de la couverture neigeuse étant déjà visible depuis l’espace. En collaboration avec des collègues des Pays-Bas et de Finlande, les chercheurs ont étudié l’évolution du manteau neigeux et de la végétation à partir d’images satellites en haute résolution de 1984 à 2021. Au cours de cette période, la biomasse végétale au-dessus de la limite des arbres a augmenté dans plus de 77% de la zone observée. Ce phénomène de « verdissement » dû au changement climatique est déjà amplement documenté dans l’Arctique et commence à produire ses effets dans les montagnes.
Des scientifiques étudient les effets du changement climatique sur le saumon de l’Atlantique, selon BBC News. Des chercheurs de l’Université de Highlands and Islands (UHI) travaillent avec le ministère Pêches et Océans Canada pour étudier la structure génétique du poisson. Ils examineront également la réaction éventuelle de différentes espèces migratrices aux conditions de la mer et d’eau douce, qui pourraient être affectées par la température et le niveau des précipitations. Les scientifiques estiment que le changement climatique pourrait avoir un impact significatif sur la migration. Vous souhaitez en savoir plus sur les défis et les opportunités que présente le changement climatique pour les investisseurs ? Cliquez ici pour vous inscrire à notre prochain webinar.
La quantité de gaz à effet de serre rejetée par les mines de charbon australiennes a été largement sous-déclarée, selon BBC News. Selon un nouveau rapport, les rejets pourraient empêcher le pays d’atteindre ses objectifs de réduction des émissions si aucune mesure n’était prise rapidement. Les auteurs du rapport ont analysé le méthane rejeté par les mines de charbon et découvert que la quantité était deux fois supérieure à celle estimée par les autorités. Le nouveau gouvernement australien s’est engagé à réduire les émissions plus rapidement que son prédécesseur sans toutefois exclure l’ouverture de nouvelles mines de charbon. Les Etats-Unis, l’UE et l’Indonésie, le premier exportateur mondial de charbon, figuraient parmi les plus de 100 pays à avoir promis l’an dernier de réduire de 30% les émissions de méthane d’ici 2030. L’Australie se classe deuxième s’agissant des exportations de charbon et figure parmi les plus gros émetteurs de méthane de la planète, mais le pays s’est abstenu prendre cet engagement.
Près de la moitié de la surface terrestre de la planète doit faire l’objet de « mesures de préservation » pour enrayer la crise de la biodiversité, selon The Guardian. Une nouvelle étude a révélé qu’au moins 64,7 millions de km2 doivent faire l’objet de « mesures de préservation », des terres où réside 1,8 milliard d’individus, ce qui pose des défis critiques en matière de droits humains. Les pays devraient s’accorder plus tard dans l’année sur de nouveaux objectifs afin de protéger 30% des terres et des océans dans le cadre de la Convention sur la diversité biologique des Nations Unies. Le Dr James Allan, qui a dirigé la nouvelle étude réalisée à l’Université d’Amsterdam, affirme qu’elle témoigne du caractère urgent de la crise de la biodiversité, mais aussi de la nécessité d’agir : « Les gouvernements sont désormais pressés de transformer les paroles en actes lors de la prochaine Convention. » Vous souhaitez en savoir plus sur les risques et les opportunités climatiques par secteur et région ? Cliquez ici pour accéder à notre infographie contient des informations importantes issues de notre récente Formation des leaders de la finance soutenable.
L’addiction au caoutchouc de l’Europe détruit les forêts tropicales africaines, selon Bloomberg. Une nouvelle étude réalisée sur des données satellites par l’organisation sans but lucratif Global Witness1 a établi un lien entre les importations de caoutchouc de l’Union européenne et la déforestation de 520 kilomètres carrés au Cameroun, au Gabon, au Ghana, en Côte d’Ivoire, au Liberia et au Nigeria depuis le début du millénaire. Le caoutchouc représente une menace plus importante pour l’Afrique que les importations d’huile de palme de l’UE. Pourtant, il ne fait l’objet d’aucune loi visant à interdire l’abattage des arbres en dehors de l’UE. Les résultats de l’étude mettent en évidence les effets désastreux provoqués par la demande de matières premières sur les écosystèmes essentiels pour combattre le changement climatique. Les forêts d’Afrique de l’Ouest et centrale absorbent près de trois fois plus de dioxyde de carbone par an que la France n’en émet, selon les données de la Banque mondiale.
Sources
[1] Toute référence à une entreprise ou à un titre spécifique ne constitue en aucun cas une recommandation d’achat, de vente, de participation ou d’investissement direct dans l’entreprise ou le titre concerné(e). Rien ne garantit que les recommandations faites à l’avenir donneront des résultats positifs ou égaleront la performance des titres cités dans le présent document.
Lululemon Athletica Inc.1 et H&M Group1 figurent parmi les bailleurs qui alimentent un fonds doté de USD 250 millions destiné à intensifier les efforts pour réduire les émissions de CO2 des chaînes d’approvisionnement du secteur de la mode, selon Reuters. Rassemblant des marques de vêtement, des donateurs philanthropiques et d’autres acteurs du secteur, le Fashion Climate Fund de l’institut espère également débloquer USD 2 milliards supplémentaires dès lors que des solutions efficaces seront mises au point et déployées à grande échelle. Parmi les bailleurs de la première heure, on trouve la Fondation H&M et la Schmidt Family Foundation. De nouveaux donateurs devraient être annoncés dans les prochains mois, le fonds espérant lever USD 10 millions auprès de chaque bailleur. Notre stratégie Natural Capital investit dans des enseignes de l’habillement qui prennent des mesures pour améliorer la circularité des vêtements. Pour en savoir plus, cliquez ici.
La société minière Teck Resources Limited1 annonce des mesures visant à préserver ou à réhabiliter au moins trois hectares de terres pour chaque hectare dégradé par ses activités dans le cadre d’un nouvel engagement à avoir un impact positif sur la nature d’ici 2030. Selon ESG Today, Teck a fait part de son intention de prendre des mesures immédiates dans trois domaines prioritaires : prise de décision positive pour la nature, évaluation des impacts sur la biodiversité de ses actions et réduction, dans la mesure du possible, de l’impact dans le cadre d’une planification. L’entreprise estime que ces mesures permettront d’accélérer le rythme de la réhabilitation et contribueront à la conservation, la protection et la restauration à travers de nouveaux projets couvrant 14’000 hectares, soit plus de 40% de l’empreinte minière de l’entreprise.
Un blé plus vert : Nestlé1 lance une nouvelle initiative en faveur de l’agriculture régénératrice, selon Business Green. Shredded Wheat pourrait être prochainement produit pour les petits-déjeuners britanniques en adoptant des pratiques agricoles à faible teneur en carbone et régénératrices innovantes, grâce à une nouvelle initiative du géant de l’alimentation Nestlé. Nestlé Cereals a annoncé le lancement de son Nestlé Wheat Plan, qui implique la signature de partenariats avec des producteurs de blé britanniques. Les agriculteurs recevront une formation et un soutien dans le cadre de la mise en place de méthodes visant à réduire l’usage des pesticides, les émissions de gaz carbonique et l’érosion des sols, tout en améliorant la matière organique des sols et la biodiversité. Vous souhaitez en savoir plus sur l’agriculture innovante ? Cliquez ici pour accéder à notre séance de questions-réponses avec Thomas Höhne-Sparborth, Head of Sustainability Research. Il évoque la nécessité de mettre au point des solutions et des technologies à même de promouvoir l’agriculture régénératrice et d’accroître l’efficacité des pratiques agricoles.
P&G1 dévoile ses objectifs en matière d’eau pour ses produits et ses usines. Le géant des biens de consommation P&G a annoncé le lancement d’une stratégie de soutenabilité axée sur l’eau, assortie de nouveaux objectifs pour restaurer un volume d’eau supérieur à celui consommé dans le cadre de la production et de l’utilisation de ses produits dans les zones soumises à un stress hydrique, selon ESG Today. Selon P&G, près des deux tiers des habitants de la planète vivront dans des zones soumises à un stress hydrique d’ici 2025. L’entreprise espère restaurer un volume d’eau supérieur à celui consommé dans ses sites de production dans 18 zones à stress hydrique, ainsi que dans le cadre de l’utilisation de produits P&G dans les agglomérations de Los Angeles et de Mexico City, qui représentent plus de la moitié de la consommation totale d’eau liée à l’utilisation des produits sur les 18 zones prioritaires.
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[1] Toute référence à une entreprise ou à un titre spécifique ne constitue en aucun cas une recommandation d’achat, de vente, de participation ou d’investissement direct dans l’entreprise ou le titre concerné(e). Rien ne garantit que les recommandations faites à l’avenir donneront des résultats positifs ou égaleront la performance des titres cités dans le présent document.
BNP Paribas Asset Management (BNPP AM)1 et la fintech danoise Matter1 annoncent le lancement de SDG Fundamentals1, visant à permettre aux investisseurs d’analyser l’alignement des entreprises sur les ODD des Nations Unies, selon ESG Today. Les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies correspondent aux 17 catégories d’objectifs adoptés dans le cadre du Programme 2030 pour le développement durable. Les données visent à permettre de combler le déficit de financement en fournissant un cadre aux investisseurs pour évaluer l’alignement des flux de revenus d’une entreprise sur des ODD et cibles spécifiques. Selon BNPP AM, SDG Fundamentals peut aider les investisseurs à prendre des décisions plus avisées s’agissant des initiatives de conformité avec le Règlement européen sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers (SFDR), des initiatives d’actionnariat actif et d’exclusion, ainsi que de construction de portefeuille et de reporting.
La plupart des grandes banques et des compagnies d’assurance africaines unissent leurs forces pour résoudre la crise de la biodiversité du continent tout en cherchant à saisir les opportunités qu’elle présente, selon Bloomberg. L’African Natural Capital Alliance (ANCA)1 témoigne de l’intérêt croissant du secteur financier pour les risques et les opportunités associés aux menaces mondiales sur la biodiversité. Le PIB de l’Afrique dépend d’une manière ou d’une autre à plus de 60% de la nature, seules l’Indonésie et l’Inde font pire, selon les estimations du Forum économique mondial. La biodiversité décline rapidement : entre 1970 et 2016, la population de mammifères, de poissons, d’amphibiens et de reptiles du continent a chuté de 65%, selon le WWF1. Les institutions financières qui ont adhéré à l’alliance comprennent la plus grande banque sud-africaine en capitalisation boursière, FirstRand Ltd.1, et les grandes banques nigériane et kenyane Access Bank Plc1 et Equity Group Holdings Plc1.
Le Net Zero Finance Group soutenu par l’ONU dévoile un cadre destiné à permettre au secteur financier de convertir en actes ses engagements en faveur du climat, selon ESG Today. La Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ)1, une alliance d’institutions financières, axée sur le climat et soutenue par l’ONU, a annoncé le lancement de son cadre Net-zero Transition Plan (NZTP), qui vise à orienter les investisseurs, les banques, les compagnies d’assurance et les autres prestataires de services financiers dans le domaine de la neutralité carbone. Créée en avril 2021, la GFANZ réunit plusieurs groupes zéro net de premier ordre qui représentent différents secteurs du monde de la finance. L’alliance compte plus de 450 entreprises membres à travers le monde, représentant plus de USD 130’000 milliards d’actifs. Le cadre prévoit des critères que les membres de la GFANZ doivent respecter pour atteindre la neutralité carbone au plus tard d’ici 2050.
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[1] Toute référence à une entreprise ou à un titre spécifique ne constitue en aucun cas une recommandation d’achat, de vente, de participation ou d’investissement direct dans l’entreprise ou le titre concerné(e). Rien ne garantit que les recommandations faites à l’avenir donneront des résultats positifs ou égaleront la performance des titres cités dans le présent document.
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